mardi 30 novembre 2010
jeudi 25 novembre 2010
LA CONCENTRATION DU PILOTE EN VOL A VUE
L' oeil sur le repère capot de l' horizon réel et non sur les instruments.(Et encore moins sur le paysage sauf pour fixer un point de repère nécessaire au changement éventuel de cap).
Le circuit visuel vers l'instrument de référence (celui qui donne l'information nécessaire) ne dépasse pas une seconde aller et retour.
Avant les virages : vérifier tout autour le risque d' abordage.(rapidement)
Pendant les virages : fixer le repère capot devant et uniquement devant , jamais à l'extérieur et encore moins à l'intérieur.
Une main sur la manette des gaz.
Une main et seulement une sur le volant ou manche.
Un leitmotiv dans cet ordre : assiette, puissance, stabilisation, compensation.
Attention : règles uniquement valables pour la simulation : pour un vol réel, se référer aux instructions des responsables.
vendredi 19 novembre 2010
MA ROUTE DU RHUM : STRATEGIE METEO
M’ inspirant de l’ exploit de Franck Cammas sur le navire Groupama 3, je prépare ma route du rhum.
Alors évidemment un avion ne réagit pas de la même façon qu’un bateau mais les lois fondamentales de la dynamique des fluides sont celles de la portance.
Dans ma stratégie j’ai voulu le plus possible intégrer les vents réels suivis par Groupama 3.
La victoire de Groupama 3 est due en grande partie au choix stratégique de suivre la route au Sud des Açores.
Dans ma simulation je vais donc suivre cette route et par comparaison faire suivre une deuxième route au Nord afin de comparer quantitativement les dérives et performances de deux avions similaires.
J’ai choisi volontairement un modèle d’avion léger. ’ est ce genre de modèle qui réagit le plus au vent.
Les premiers essais me font rejeter le planeur sur une longue distance car il finira par descendre et se noyer (voir post précédent) à moins de le retracter ce qui fausse les performances.
Pas question non plus de prendre des avions à forte puissance de moteur : ils annulent fortement l’effet du vent en latéral.
Les essais sur ULM sont excellents quant à la réactivité au vent mais la structure de l’appareil explose très rapidement (j’en ai déjà cassé trois) : il faudra donc imaginer en soufflerie un modèle de structure résistant aux fortes pressions du vent.
Dans Microsoft Flight Simulator il suffit de décocher une case Ce n’est pas réaliste avec les ULM actuels mais étudiable en expérimentation.
Reste le problème de l’essence : nous en reparlerons
Attention : il ne s’agit que de simulation informatique et surtout d’un jeu : en aucun la responsabilité de ce blog ne pourrait être engagée et , dans la réalité seuls les réglements officiels, manuels des constructeurs, cartes et autres documents utilisés sous la responsabilité des pilotes.
Le seul conseil que je puisse vous donner est de ne pas faire ceci en vrai.
Mais grâce à Flight Simulator nous allons pouvoir le rêver
Alors évidemment un avion ne réagit pas de la même façon qu’un bateau mais les lois fondamentales de la dynamique des fluides sont celles de la portance.
Dans ma stratégie j’ai voulu le plus possible intégrer les vents réels suivis par Groupama 3.
La victoire de Groupama 3 est due en grande partie au choix stratégique de suivre la route au Sud des Açores.
Dans ma simulation je vais donc suivre cette route et par comparaison faire suivre une deuxième route au Nord afin de comparer quantitativement les dérives et performances de deux avions similaires.
J’ai choisi volontairement un modèle d’avion léger. ’ est ce genre de modèle qui réagit le plus au vent.
Les premiers essais me font rejeter le planeur sur une longue distance car il finira par descendre et se noyer (voir post précédent) à moins de le retracter ce qui fausse les performances.
Pas question non plus de prendre des avions à forte puissance de moteur : ils annulent fortement l’effet du vent en latéral.
Les essais sur ULM sont excellents quant à la réactivité au vent mais la structure de l’appareil explose très rapidement (j’en ai déjà cassé trois) : il faudra donc imaginer en soufflerie un modèle de structure résistant aux fortes pressions du vent.
Dans Microsoft Flight Simulator il suffit de décocher une case Ce n’est pas réaliste avec les ULM actuels mais étudiable en expérimentation.
Reste le problème de l’essence : nous en reparlerons
Attention : il ne s’agit que de simulation informatique et surtout d’un jeu : en aucun la responsabilité de ce blog ne pourrait être engagée et , dans la réalité seuls les réglements officiels, manuels des constructeurs, cartes et autres documents utilisés sous la responsabilité des pilotes.
Le seul conseil que je puisse vous donner est de ne pas faire ceci en vrai.
Mais grâce à Flight Simulator nous allons pouvoir le rêver
jeudi 18 novembre 2010
L ' ANALYSE DE VOL : LA RESULTANTE ENTRE POIDS ET PORTANCE
l’aérodynamique et permettent donc d’améliorer beaucoup de performances des futurs vols.
Ici, vous avez une courbe qui représente le vol d’un planeur étant lâché à plus de 5000 pieds et réussissant à parcourir 30 Milles sans s’écraser.
Evidemment, dans un planeur il n’y a pas de moteur et dans ce cas précis je n’ai pas touché une seule fois au manche à balai : j’ai laissé l’avion suivre sa trajectoire naturelle.
Notons toutefois que dans cet exercice il n’y a pas de vent .
Si, à la place du planeur, nous avions une boule de métal d’un poids équivalent, celle-ci s’écraserait très vite en suivant la flèche rouge représentative du principe de pesanteur et de la force exercée sur un solide.
Cela, selon les lois de Newton.
Or, grâce à la force appelée « portance » , l’avion reste en l’air pendant un long périple.
Cette force est due au profil de l’aile et s’exerce en fonction de la différence de pression entre les deux côtés de l’aile que l’on appelle « intrados » et « extrados «.
Le trajet du planeur suit ici ce qu’on appelle en physique la « résultante » entre la force d’attraction terrestre qui est poids et la force de la portance.
Nous en reparlerons.
mardi 16 novembre 2010
mardi 9 novembre 2010
vendredi 5 novembre 2010
LE TRACE D ' UNE ROUTE
Quoi de commun entre le tracé d'un itinéraire d'un avion sur l' Atlantique et la Route du Rhum ? Vous allez le vivre dans ma rubrique intitulée "Route du rhum".
jeudi 4 novembre 2010
mardi 2 novembre 2010
LE PLAISIR D’APPRENDRE LES MATHEMATIQUES ET LA PHYSIQUE EN VOLANT
Pythagore (détail de la fresque "l' Ecole d' Athènes" située au Vatican.)
La plupart des gens n’aiment pas les mathématiques.
Peut on être pilote sans être bon matheux ?Ce n’est pas à moi de répondre.
La seule chose que je peux affirmer c’est que Flight Simulator, parce que c’est un jeu, peut apprendre à aimer les mathématiques.
En tout état de cause, sa programmation ne peut être que l œuvre de mathématiciens.
En d’autres termes les joueurs font des mathématiques sans le savoir comme Mr Jourdain de la prose sans le savoir.
J’ai décidé de ne pas me censurer sur l’aspect mathématique du jeu en invitant les non matheux à découvrir le charme de l’apprentissage en jouant.
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