M’ inspirant de l’ exploit de Franck Cammas sur le navire Groupama 3, je prépare ma route du rhum.
Alors évidemment un avion ne réagit pas de la même façon qu’un bateau mais les lois fondamentales de la dynamique des fluides sont celles de la portance.
Dans ma stratégie j’ai voulu le plus possible intégrer les vents réels suivis par Groupama 3.
La victoire de Groupama 3 est due en grande partie au choix stratégique de suivre la route au Sud des Açores.
Dans ma simulation je vais donc suivre cette route et par comparaison faire suivre une deuxième route au Nord afin de comparer quantitativement les dérives et performances de deux avions similaires.
J’ai choisi volontairement un modèle d’avion léger. ’ est ce genre de modèle qui réagit le plus au vent.
Les premiers essais me font rejeter le planeur sur une longue distance car il finira par descendre et se noyer (voir post précédent) à moins de le retracter ce qui fausse les performances.
Pas question non plus de prendre des avions à forte puissance de moteur : ils annulent fortement l’effet du vent en latéral.
Les essais sur ULM sont excellents quant à la réactivité au vent mais la structure de l’appareil explose très rapidement (j’en ai déjà cassé trois) : il faudra donc imaginer en soufflerie un modèle de structure résistant aux fortes pressions du vent.
Dans Microsoft Flight Simulator il suffit de décocher une case Ce n’est pas réaliste avec les ULM actuels mais étudiable en expérimentation.
Reste le problème de l’essence : nous en reparlerons
Attention : il ne s’agit que de simulation informatique et surtout d’un jeu : en aucun la responsabilité de ce blog ne pourrait être engagée et , dans la réalité seuls les réglements officiels, manuels des constructeurs, cartes et autres documents utilisés sous la responsabilité des pilotes.
Le seul conseil que je puisse vous donner est de ne pas faire ceci en vrai.
Mais grâce à Flight Simulator nous allons pouvoir le rêver
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